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SENATOR SMITH: Only the three words were used?
MR. COTTAM: No, sir; all the lot. The whole message was for me.
SENATOR SMITH: When you received that message, what did you do?
MR. COTTAM: I confirmed it by asking him if I was to report it to the captain.
SENATOR SMITH: Before you reported to the captain you asked him if you were to report it to the captain?
MR. COTTAM: Yes, sir.
SENATOR SMITH: Did you get an answer?
MR. COTTAM: Yes, sir.
SENATOR SMITH: What did it say?
MR. COTTAM: It said, "Yes."
SENATOR SMITH: How did you happen to confirm it?
MR. COTTAM: By asking him if -
SENATOR SMITH (interrupting): I know, but what prompted you to confirm it before you delivered it to the captain?
MR. COTTAM: Because it is always wise to confirm a message of that deScription.
SENATOR SMITH: Do you always do it?
MR. COTTAM: Yes, sir.
SENATOR SMITH: Are you instructed to do it?
MR. COTTAM: No, sir.
SENATOR SMITH: Or is that a matter of discretion?
MR. COTTAM: It is a matter of discretion.
SENATOR SMITH: Had you been misled by messages that were without foundation that prompted you to confirm that message?
MR. COTTAM: No, sir.
SENATOR SMITH: What would you have done if you had not received any confirmation?
MR. COTTAM: I should have reported the communication.
SENATOR SMITH: You would have reported it to the captain?
MR. COTTAM: Yes, sir.
SENATOR SMITH: How much time elapsed between the time when you received that distress call and the time you communicated it to the captain?
MR. COTTAM: A matter of a couple of minutes.
SENATOR SMITH: Only a couple of minutes?
MR. COTTAM: Yes, sir.

LE SÉNATEUR SMITH : Seuls les trois mots ont été utilisés?
M. COTTAM : Non, monsieur; tous les mots. Tout le message était pour moi.
LE SÉNATEUR SMITH : Quand vous avez reçu ce message, qu’avez-vous fait?
M. COTTAM : Je l’ai confirmé en lui demandant si je devais le signaler au capitaine.
LE SÉNATEUR SMITH : Avant d’en faire rapport au capitaine, vous lui avez demandé si vous deviez le faire?
M. COTTAM : Oui, monsieur.
LE SÉNATEUR SMITH : Avez-vous obtenu une réponse?
M. COTTAM : Oui, monsieur.
LE SÉNATEUR SMITH : Qu’est-ce que cela disait?
M. COTTAM : Il a dit : « Oui. »
LE SÉNATEUR SMITH : Comment avez-vous pu le confirmer?
M. COTTAM : En lui demandant si-
LE SÉNATEUR SMITH (interrompt) : Je sais, mais qu’est-ce qui vous a poussé à le confirmer avant de le remettre au capitaine?
M. COTTAM : Parce qu’il est toujours sage de confirmer un message de ce contenu.
LE SÉNATEUR SMITH : Le faites-vous toujours?
M. COTTAM : Oui, monsieur.
LE SÉNATEUR SMITH : Vous a-t-on demandé de le faire?
M. COTTAM : Non, monsieur.
LE SÉNATEUR SMITH : Ou est-ce une question de discrétion?
M. COTTAM : C’est une question de discrétion.
LE SÉNATEUR SMITH : Avez-vous été induit en erreur par des messages sans fondement qui vous ont incité à confirmer ce message?
M. COTTAM : Non, monsieur.
LE SÉNATEUR SMITH : Qu’auriez-vous fait si vous n’aviez pas reçu de confirmation?
M. COTTAM : J’aurais dû signaler la communication.
LE SÉNATEUR SMITH : Vous l’auriez signalé au capitaine?
M. COTTAM : Oui, monsieur.
LE SÉNATEUR SMITH : Combien de temps s’est-il écoulé entre le moment où vous avez reçu cet appel de détresse et le moment où vous l’avez communiqué au capitaine?
M. COTTAM : C’est une question de quelques minutes.
LE SÉNATEUR SMITH : Seulement quelques minutes?
M. COTTAM : Oui, monsieur.

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