![]() ![]() |
Page 66
|
SENATOR SMITH: Only the three words were used? MR. COTTAM: No, sir; all the lot. The whole message was for me. SENATOR SMITH: When you received that message, what did you do? MR. COTTAM: I confirmed it by asking him if I was to report it to the captain. SENATOR SMITH: Before you reported to the captain you asked him if you were to report it to the captain? MR. COTTAM: Yes, sir. SENATOR SMITH: Did you get an answer? MR. COTTAM: Yes, sir. SENATOR SMITH: What did it say? MR. COTTAM: It said, "Yes." SENATOR SMITH: How did you happen to confirm it? MR. COTTAM: By asking him if - SENATOR SMITH (interrupting): I know, but what prompted you to confirm it before you delivered it to the captain? MR. COTTAM: Because it is always wise to confirm a message of that deScription. SENATOR SMITH: Do you always do it? MR. COTTAM: Yes, sir. SENATOR SMITH: Are you instructed to do it? MR. COTTAM: No, sir. SENATOR SMITH: Or is that a matter of discretion? MR. COTTAM: It is a matter of discretion. SENATOR SMITH: Had you been misled by messages that were without foundation that prompted you to confirm that message? MR. COTTAM: No, sir. SENATOR SMITH: What would you have done if you had not received any confirmation? MR. COTTAM: I should have reported the communication. SENATOR SMITH: You would have reported it to the captain? MR. COTTAM: Yes, sir. SENATOR SMITH: How much time elapsed between the time when you received that distress call and the time you communicated it to the captain? MR. COTTAM: A matter of a couple of minutes. SENATOR SMITH: Only a couple of minutes? MR. COTTAM: Yes, sir. |
LE SÉNATEUR SMITH : Seuls les trois mots ont été utilisés? M. COTTAM : Non, monsieur; tous les mots. Tout le message était pour moi. LE SÉNATEUR SMITH : Quand vous avez reçu ce message, qu’avez-vous fait? M. COTTAM : Je l’ai confirmé en lui demandant si je devais le signaler au capitaine. LE SÉNATEUR SMITH : Avant d’en faire rapport au capitaine, vous lui avez demandé si vous deviez le faire? M. COTTAM : Oui, monsieur. LE SÉNATEUR SMITH : Avez-vous obtenu une réponse? M. COTTAM : Oui, monsieur. LE SÉNATEUR SMITH : Qu’est-ce que cela disait? M. COTTAM : Il a dit : « Oui. » LE SÉNATEUR SMITH : Comment avez-vous pu le confirmer? M. COTTAM : En lui demandant si- LE SÉNATEUR SMITH (interrompt) : Je sais, mais qu’est-ce qui vous a poussé à le confirmer avant de le remettre au capitaine? M. COTTAM : Parce qu’il est toujours sage de confirmer un message de ce contenu. LE SÉNATEUR SMITH : Le faites-vous toujours? M. COTTAM : Oui, monsieur. LE SÉNATEUR SMITH : Vous a-t-on demandé de le faire? M. COTTAM : Non, monsieur. LE SÉNATEUR SMITH : Ou est-ce une question de discrétion? M. COTTAM : C’est une question de discrétion. LE SÉNATEUR SMITH : Avez-vous été induit en erreur par des messages sans fondement qui vous ont incité à confirmer ce message? M. COTTAM : Non, monsieur. LE SÉNATEUR SMITH : Qu’auriez-vous fait si vous n’aviez pas reçu de confirmation? M. COTTAM : J’aurais dû signaler la communication. LE SÉNATEUR SMITH : Vous l’auriez signalé au capitaine? M. COTTAM : Oui, monsieur. LE SÉNATEUR SMITH : Combien de temps s’est-il écoulé entre le moment où vous avez reçu cet appel de détresse et le moment où vous l’avez communiqué au capitaine? M. COTTAM : C’est une question de quelques minutes. LE SÉNATEUR SMITH : Seulement quelques minutes? M. COTTAM : Oui, monsieur. |
![]() ![]() |
Page 66
|